Nous devrions être nombreux pour plaider pour cette belle cause : LA MER, cette grande richesse offerte à la Tunisie mérite tout l’attention du gouvernement pour une valorisation optimale pour une gestion et exploitation durable sans excès d’agression et de prélèvement.
Un outil responsable de suivi, d’exploitation, de contrôle et de gestion est à ne doit pas tarder à le créer au rang d’un ministère, réunissant tous les administrations et institutions intervenantes de multiples secteurs.
En effet,
- la pêche et la destruction des stocks de poissons par des utilisations des méthodes interdites localement et régionalement,
- les îles et le système insulaire,
- des eaux usées sans TRAITEMENT, déversées directement dans la mer,
- les rejets des usines industrielles hautement polluantes à Sfax, à Gabès et à Skhira.
- la fermeture de plus de 50 plages par les services du ministère de la santé aux estivants pour des degrés de pollution dépassant les normes.
- les lagunes et les zones humides côtières mises à l’abondant devenues des décharges d’ordures à ciel ouvert.
- le non suivi rigoureux du système littoral et la valorisation de ses potentialités,
- faible suivi par les nombreuses autorités compétentes des diverses agressions que la mer est en train de subir.
Et bien d’autres dossiers a traiter avec rigueur et attention.
Hier, Monsieur le président du gouvernement vient de franchir le premier pas, est-il urgent et important de prêter les attentions courageuses pour un avenir étudié pour palier à des catastrophes certaines ?