Quelle économie bleue pour la Tunisie ?

Quelle économie bleue pour la Tunisie ?

En marge de l’organisation de la «SAISON BLEUE» par l’Ambassade de France. La Méditerranée ne va pas vivre seulement par la sensibilité de notre amour ni par nos sentiments.

La Méditerranée, quand elle nous a réuni, elle ne va pas supporter nos différents ni encore nos agressions multiples, principalement écologiques.  Ce n’est pas seulement par notre art ou par notre culture que la Méditerranée va être sauvée et protégée.

L’économie bleue a été longuement débattue à Bizerte dans plusieurs thèses par d’éminents intervenants, experts et chercheurs, pour étaler des problèmes d’ordre social, économique et aussi écologique et politique, que les solutions sont chez les décideurs qui trouvent la peine de mettre le doigt là où ça fait vraiment mal.

Profitant de la présence de M Ameur Laarayedh, président de la commission parlementaire de l’industrie, de l’énergie, des ressources naturelles, de l’infrastructure et de l’environnement, (cette commission qui a tout raflé pour la concertation sur l’avenir de notre futur environnemental ! ! ! ), quand il nous a donné l’eau à la bouche, puisque la Tunisie va produire de l’énergie propre à l’ordre de 30%. Qui sait ? ?

L’avoir questionné : qu’en est-il sur nos ressources halieutiques et la pêche interdite au Golfe de Gabès puisant gravement nos stocks en poissons, et le problème dangereux de la pollution invisible par les industries chimiques spécialement à Skhira, jusqu’au projet en cours d’étude sur les deux centrale nucléaires, l’une à Kef Abbed, gouvernorat de Bizerte, et l’autre à Skhira.

Pas de réponse ! ! ! … Puisque plusieurs dossiers se traitent à huit-clos aussi bien aux commissions du parlement qu’aux ministères.

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Monsieur Taoufik Habaieb, doyen par excellence du journalisme en Tunisie, a su vraiment expliquer avec professionnalisme et rigueur, les autres problèmes essentiellement politiques qui ont rendu la Méditerranée une zone de tension quand elle était un havre de paix.

(Merci à mon équipe de m’avoir enregistré à temps la vidéo quand elle était diffusée en directe de Bizerte sur les réseaux sociaux par les services de l’Ambassade de France.)